P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

Crédits photo: Ivan Binet

Je ne suis que de passage

Matériaux :
Divers
Dimensions :
Variables
Medium :
Sculpture et installation

Contexte :
Résidence de création et exposition individuelle à LA CHAMBRE BLANCHE à Québec, du 12 mars au 22 avril 2012.

Il y a de ces artistes qui aiment secouer notre rapport au temps et à la matière. C’est certainement le cas de Marc Dulude. « Mon travail repose sur un désir d’exploration de la matière et de ses possibles; choisies pour leurs qualités physiques, formelles ou symboliques, les matières que je mets en forme surprennent, amusent et ont fonction de référence », soutient l’artiste qui s’emploie à repenser la nature et renouveler notre perception de cette dernière avec ses œuvres. Dulude souhaite ainsi poursuivre un travail de création qui prend comme origine l’idée des phénomènes, leur étude et leur interprétation. Pour ce faire, l’artiste présente certains phénomènes dans l’espace de la galerie transformée en véritable laboratoire in vivo. Du mouvement imperceptible à l’œil à celui trop lent pour en voir la progression dans l’immédiat, ces différentes mises en scène deviendront les dispositifs de sculptures organiques qui rendront compte de la notion de temps et de ses variations. Au-delà du phénomène physique, les œuvres de Marc Dulude investissent une véritable recherche plastique, esthétique et poétique de l’imprévisible.

Liens :