P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

P’eau douce, 2004, artwork by Marc Dulude. Photo credits: Marc Dulude.

Crédits photo: Marc Dulude

Œuvres sur toile

Matériaux :
Bas de nylon, eau, moteurs, silicone
Dimensions :
Variables
Medium :
Sculpture et installation cinétique

Contexte :
Exposition individuelle au Centre d’artistes CIRCA à Montréal, du 23 février au 29 mars 2008.

S’il est vrai que l’installation Œuvres sur toile nous rappelle, par ses composantes plastiques courbes et ses jeux de lumière, l’esthétique de certains décors de films de science-fiction des années 60, ces mêmes objets nous font aussi découvrir des microcosmes. Mettant en scène des éléments statiques et des phénomènes physiques, l’artiste engage, par l’utilisation de différentes surfaces, une réflexion sur l’espace et le temps. Dans Œuvres sur toile, l’espace de représentation n’interpelle pas seulement le spectateur dans sa matérialité, elle le pousse à se projeter dans les scènes qui la constituent, dans ces petits théâtres miniatures où l’eau s’anime sous des lumières et qui nous font saisir toute la composition des matériaux utilisés et des textures suggérées par l’artiste. Cette œuvre incite l’observateur à utiliser son imagination et à habiter les surfaces, à les alimenter d’un contenu personnel et à s’y engager. L’artiste nous amène à porter une attention toute particulière aux surfaces qui constituent notre rapport au monde aussi bidimensionnel que tridimensionnel. Ce faisant, il ne propose pas seulement au spectateur d’investir son œuvre, il lui propose d’investir le monde.

Liens :